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Putain que c'est beau … !
EDIT: J'ai essayé de la traduire en anglais mais ce n'est pas parfait : http://www.olissea.com/out/FAUVE%20%3f%20BLIZZARD%20%28VERSION%20LONGUE%29.txt
Depuis les paroles trouvées sur cette page http://www.buzzdidi.net/fauve-blizzard-version-longue/ traduite par Google Traduction et corrigées par moi comme possible :)
EDIT: J'ai essayé de la traduire en anglais mais ce n'est pas parfait : http://www.olissea.com/out/FAUVE%20%3f%20BLIZZARD%20%28VERSION%20LONGUE%29.txt
Depuis les paroles trouvées sur cette page http://www.buzzdidi.net/fauve-blizzard-version-longue/ traduite par Google Traduction et corrigées par moi comme possible :)
Tu sais, à un moment où tu parles de programmation et que tu n'avais pas été capable de faire un Hello World, ça va beaucoup dépendre du langage hein ;)
Si c'était un vieux langage moisi très proche de la machine (ce qu'on appelle un langage bas niveau), ça me semble "normal" que tu aies eu des difficultés.
Tandis que de nos jours, la programmation n'a pas à être difficile: En python un Hello World se résume à ça:
print("Hello World")
J'ai vu pire je dois dire :)
C'est bien simple, un programme python peut être pratiquement compris par n'importe qui juste à la lecture (sans rien connaître du python; juste un peu d'anglais) (ce qu'on appelle un langage haut niveau, proche de la langue parlée).
Quant à installer Ubuntu soit même, je ne sais si tu es néophyte ou non mais ce n'est pas forcément le plus simple. Très personnellement, je ne qualifierais pas ça de compliqué (mais c'est sûrement très relatif) mais il faut aussi prendre en compte le fait que, ça aussi, ça a pas mal évolué (en bien ... puis plus récemment en mal; selon moi).
Moi aussi j'ai galéré à installer Linux moi même au début. Vachement. Alors qu'à un autre moment, plus tard, lorsque c'était devenu plus "user-friendly", c'était alors à la portée de quasi tout le monde ! (Et ça c'était cool !)
+1 en ce qui concerne la vie en communauté même si ce n'est pas toujours le plus simple :) (ça dépend de l'entourage etc)
+1 aussi qu'il ne faut pas faire les choses à la place des autres tandis que, dans l'autre main, les aider à le faire, c'est pas pareil. Non, on a pas forcément à faire toutes ces choses pas-toujours-si-simples seules (ouf !): Il ne reste plus qu'à trouver les bonnes personnes / les bons endroits / les bonnes méthodes d'apprentissage, de recherche.
Pour finir, paradoxalement, non, on ne doit pas tous apprendre tout (même s'il y a des choses plus importantes que les autres qui sont majoritairement délaissées de côté alors qu'elles sont d'une importance capitale / dont internet, la politique et d'autres choses, qu'on ne s'y méprenne pas, gaies), c'est pas vraiment possible, c'est chronophage et nous sommes tous différents, dans nos goûts / nos passions, nos modes de vies, etc. (donc ce n'est pas que l’apanage des mateurs de pornos qui refusent d'apprendre) (Enfin est-ce peut-être d'(auto-)éducation ? Ou simplement de masse / un problème de société)
Et c'est loin d'être un point négatifs: in fine, nous sommes tous riches de quelque chose que d'autres n'ont pas, et, bien fort heureusement pour nous du coup, les êtres humains sont des êtres grégaires: Quoi de plus magnifique que le partage des savoirs / des cultures / des opinions. … Tant qu'on garde l'esprit ouvert et qu'on s'en sert pour évoluer soit-même et s'entraider ☺
On peut pas s'entendre avec tous le monde, non plus, ni espérer que tout le monde change de la façon qu'on espérerait (si encore notre façon de voir les choses est *vraiment* "une bonne chose"). Le mal est exacerbé mais pourtant souvent minoritaire, mais voilà il est beaucoup plus bruyant que le bien qui lui passe souvent inaperçu, il ne se revendique pas ou rarement, il est humble (alors qu'on expose le mal dès qu'il s'est produit, on le vend, il fait la une des journaux et nous relayons "joyeusement", "macabrement", frénétiquement, inconsciemment (car c'est du sensationnalisme) etc.). Donc je te rejoins sur l'espoir.
Tout dépend de notre vision des choses, si nous sommes défaitistes alors on abandonne collectivement avant même d'essayer. À l'opposé, si on parvient à changer sa vision des choses et réussir à voir le positif, même lorsqu'il est minime, s'y accrocher, le maximiser, l'aimer, y contribuer, rayonner, alors les choses peuvent de l'avant.
Nous sommes influencés par notre entourage et donc les autres aussi le sont. Par conséquent, nous influons aussi notre entourage. Si on vit dans un milieu à tendance pessimistes, vous laisserez vous influencé et dicté ce que vous devez pensez et/ou la façon dont vous devez voir les choses, être un pantin ou plutôt vous forger vos propres opinions, voir les choses différemment et, à votre tour, influencé positivement, passivement ou activement, votre entourage (et/ou plutôt parfois/plus souvent surtout ceux ouverts et demandeurs de ces bonnes ondes :) car nombreux sont ceux qui recherchent aussi la "bonne vibe").
Comme d'habitude mes romans sont flous, oups! Suis pas un grand écrivain :)
Bonne journée. Paix et amour.
Si c'était un vieux langage moisi très proche de la machine (ce qu'on appelle un langage bas niveau), ça me semble "normal" que tu aies eu des difficultés.
Tandis que de nos jours, la programmation n'a pas à être difficile: En python un Hello World se résume à ça:
print("Hello World")
J'ai vu pire je dois dire :)
C'est bien simple, un programme python peut être pratiquement compris par n'importe qui juste à la lecture (sans rien connaître du python; juste un peu d'anglais) (ce qu'on appelle un langage haut niveau, proche de la langue parlée).
Quant à installer Ubuntu soit même, je ne sais si tu es néophyte ou non mais ce n'est pas forcément le plus simple. Très personnellement, je ne qualifierais pas ça de compliqué (mais c'est sûrement très relatif) mais il faut aussi prendre en compte le fait que, ça aussi, ça a pas mal évolué (en bien ... puis plus récemment en mal; selon moi).
Moi aussi j'ai galéré à installer Linux moi même au début. Vachement. Alors qu'à un autre moment, plus tard, lorsque c'était devenu plus "user-friendly", c'était alors à la portée de quasi tout le monde ! (Et ça c'était cool !)
+1 en ce qui concerne la vie en communauté même si ce n'est pas toujours le plus simple :) (ça dépend de l'entourage etc)
+1 aussi qu'il ne faut pas faire les choses à la place des autres tandis que, dans l'autre main, les aider à le faire, c'est pas pareil. Non, on a pas forcément à faire toutes ces choses pas-toujours-si-simples seules (ouf !): Il ne reste plus qu'à trouver les bonnes personnes / les bons endroits / les bonnes méthodes d'apprentissage, de recherche.
Pour finir, paradoxalement, non, on ne doit pas tous apprendre tout (même s'il y a des choses plus importantes que les autres qui sont majoritairement délaissées de côté alors qu'elles sont d'une importance capitale / dont internet, la politique et d'autres choses, qu'on ne s'y méprenne pas, gaies), c'est pas vraiment possible, c'est chronophage et nous sommes tous différents, dans nos goûts / nos passions, nos modes de vies, etc. (donc ce n'est pas que l’apanage des mateurs de pornos qui refusent d'apprendre) (Enfin est-ce peut-être d'(auto-)éducation ? Ou simplement de masse / un problème de société)
Et c'est loin d'être un point négatifs: in fine, nous sommes tous riches de quelque chose que d'autres n'ont pas, et, bien fort heureusement pour nous du coup, les êtres humains sont des êtres grégaires: Quoi de plus magnifique que le partage des savoirs / des cultures / des opinions. … Tant qu'on garde l'esprit ouvert et qu'on s'en sert pour évoluer soit-même et s'entraider ☺
On peut pas s'entendre avec tous le monde, non plus, ni espérer que tout le monde change de la façon qu'on espérerait (si encore notre façon de voir les choses est *vraiment* "une bonne chose"). Le mal est exacerbé mais pourtant souvent minoritaire, mais voilà il est beaucoup plus bruyant que le bien qui lui passe souvent inaperçu, il ne se revendique pas ou rarement, il est humble (alors qu'on expose le mal dès qu'il s'est produit, on le vend, il fait la une des journaux et nous relayons "joyeusement", "macabrement", frénétiquement, inconsciemment (car c'est du sensationnalisme) etc.). Donc je te rejoins sur l'espoir.
Tout dépend de notre vision des choses, si nous sommes défaitistes alors on abandonne collectivement avant même d'essayer. À l'opposé, si on parvient à changer sa vision des choses et réussir à voir le positif, même lorsqu'il est minime, s'y accrocher, le maximiser, l'aimer, y contribuer, rayonner, alors les choses peuvent de l'avant.
Nous sommes influencés par notre entourage et donc les autres aussi le sont. Par conséquent, nous influons aussi notre entourage. Si on vit dans un milieu à tendance pessimistes, vous laisserez vous influencé et dicté ce que vous devez pensez et/ou la façon dont vous devez voir les choses, être un pantin ou plutôt vous forger vos propres opinions, voir les choses différemment et, à votre tour, influencé positivement, passivement ou activement, votre entourage (et/ou plutôt parfois/plus souvent surtout ceux ouverts et demandeurs de ces bonnes ondes :) car nombreux sont ceux qui recherchent aussi la "bonne vibe").
Comme d'habitude mes romans sont flous, oups! Suis pas un grand écrivain :)
Bonne journée. Paix et amour.
Ahh c'est mignon :D je vous le C/C ici.
"Elle : Qu'est ce que tu fais si je te dis que je te quitte ?
Moi : Je retourne avec mon ex :)
Elle : Maintenant je vois à quel point tu tiens à moi, c'est fini.
Moi : Tu fais quoi ce soir ?
Elle : Va avec ton ex.
Moi : Tu es mon ex :)"
"Elle : Qu'est ce que tu fais si je te dis que je te quitte ?
Moi : Je retourne avec mon ex :)
Elle : Maintenant je vois à quel point tu tiens à moi, c'est fini.
Moi : Tu fais quoi ce soir ?
Elle : Va avec ton ex.
Moi : Tu es mon ex :)"